* À la fin des temps les gens laboureront et moissonneront avec le feu mais la bénédiction aura disparu.
* C'est l'hiver qui a dit que je ne m'accommoderai pas de facilités.
* Celui qui a été piqué par un serpent prend peur d'une simple corde.
* Celui qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles.
* Celui qui passe la nuit dans la mare se réveille cousin des grenouilles.
* Celui qui a des amis dans les montagnes, n'aura pas à avoir peur dans les plaines.
* Celui qui possède un métier est comme celui qui possède un château-fort.
* Celui qui t'enseigne vaut mieux que celui qui te donne.
* Embrasse celui que tu ne peux pas mordre.
* Il a mangé avec le chacal et pleure avec le berger.
* Il n'y a que mes ongles pour gratter mon dos, et que mes pieds pour me conduire.
* J'ai fui le poussiéreux et suis tombé sur le pierreux.
* L'arbre s'est plaint de douleur à la hache, laquelle lui répond que le manche vient de lui.
* La langue n'a pas d'os, tu la déformes comme tu veux.
* La belle-mère et la brû est comme la suie dans l'huile
* L'arbre suit sa racine.
* L'ennemi ne se changera pas en ami, ni le son en farine.
* L'homme bien né dit toujours du bien du lieu où il a passé la nuit.
* L'homme brave a deux fortunes.
* C'est l'hiver qui a dit que je ne m'accommoderai pas de facilités.
* Celui qui a été piqué par un serpent prend peur d'une simple corde.
* Celui qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles.
* Celui qui passe la nuit dans la mare se réveille cousin des grenouilles.
* Celui qui a des amis dans les montagnes, n'aura pas à avoir peur dans les plaines.
* Celui qui possède un métier est comme celui qui possède un château-fort.
* Celui qui t'enseigne vaut mieux que celui qui te donne.
* Embrasse celui que tu ne peux pas mordre.
* Il a mangé avec le chacal et pleure avec le berger.
* Il n'y a que mes ongles pour gratter mon dos, et que mes pieds pour me conduire.
* J'ai fui le poussiéreux et suis tombé sur le pierreux.
* L'arbre s'est plaint de douleur à la hache, laquelle lui répond que le manche vient de lui.
* La langue n'a pas d'os, tu la déformes comme tu veux.
* La belle-mère et la brû est comme la suie dans l'huile
* L'arbre suit sa racine.
* L'ennemi ne se changera pas en ami, ni le son en farine.
* L'homme bien né dit toujours du bien du lieu où il a passé la nuit.
* L'homme brave a deux fortunes.
* L'homme puissant est souvent sans cœur, l'homme bon est souvent sans puissance.
* Et l'âne qu'on a chargé et quand il eut faim, on lui a donné de l'eau.
* La bataille de lions dure un jour, celle des chiens tous les jours.
* La maison est pleine de bois, je ne sais avec quoi conduire l'âne.
* La mauvaise fraternité est semblable à un eucalyptus : c'est au loin qu'il projette son ombre.
* La misère n'engendre pas de nif (« l'honneur »).
* Le blé qu'a labouré le boeuf, c'est l'âne qui en a fait son repas.
* Le bien de la corruption s'envolera même si tu le lies avec des chaînes en fer.
* Le bien est de plomb, le mal est de plume.
* Le ciel qui donne de la pluie est manifeste.
* Le faucon une fois pris ne se débat plus.
* Le feu enlève toute impureté.
* Le présomptueux devient raisin sec avant d'avoir été raisin mûr.
* Le voleur qui ne trouve rien à voler emporte une poignée de sable.
* Le temps enfante sans étalon.
* Les dents ont beau rire, le cœur sait la blessure qu'il porte.
* Les paroles les plus douces ont moins de prise sur les femmes que les bijoux silencieux.
* Les soucis enlaidissent, c'est la joie qui fait fleurir.
* Les soucis pendant la jeunesse sont comme les roses et les fleurs d'oranger ; pendant la vieillesse, ils sont comme des blessures sur le dos.
* Les voiles des cœurs sont déchirés quand les cœurs se regardent en face.
* On renverse les grands vases, et seuls les petits pots restent.
* Plutôt rompre que plier.
* Pauvre mais aime faire la fantasia (« la gloire »).
* Parles ô dépositaire de verbe, je suis devancé par le dépositaire de terre.
* Il a laissé sa maison dans l'abandon et il a nettoyé la mosquée avec le romarin.
* Pour les bons, un bienfait est un prêt ; pour les méchants, c'est une charité.
* Quand l'homme meurt, ses pieds s'allongent.
* Que de saisons fastes ont passé et les bœufs non engraissés.
* Quelle belle fleur que le laurier-rose, et le laurier-rose est amer !
* Qui pourrait dire au lion : « Ta bouche sent mauvais » ?
* Et l'âne qu'on a chargé et quand il eut faim, on lui a donné de l'eau.
* La bataille de lions dure un jour, celle des chiens tous les jours.
* La maison est pleine de bois, je ne sais avec quoi conduire l'âne.
* La mauvaise fraternité est semblable à un eucalyptus : c'est au loin qu'il projette son ombre.
* La misère n'engendre pas de nif (« l'honneur »).
* Le blé qu'a labouré le boeuf, c'est l'âne qui en a fait son repas.
* Le bien de la corruption s'envolera même si tu le lies avec des chaînes en fer.
* Le bien est de plomb, le mal est de plume.
* Le ciel qui donne de la pluie est manifeste.
* Le faucon une fois pris ne se débat plus.
* Le feu enlève toute impureté.
* Le présomptueux devient raisin sec avant d'avoir été raisin mûr.
* Le voleur qui ne trouve rien à voler emporte une poignée de sable.
* Le temps enfante sans étalon.
* Les dents ont beau rire, le cœur sait la blessure qu'il porte.
* Les paroles les plus douces ont moins de prise sur les femmes que les bijoux silencieux.
* Les soucis enlaidissent, c'est la joie qui fait fleurir.
* Les soucis pendant la jeunesse sont comme les roses et les fleurs d'oranger ; pendant la vieillesse, ils sont comme des blessures sur le dos.
* Les voiles des cœurs sont déchirés quand les cœurs se regardent en face.
* On renverse les grands vases, et seuls les petits pots restent.
* Plutôt rompre que plier.
* Pauvre mais aime faire la fantasia (« la gloire »).
* Parles ô dépositaire de verbe, je suis devancé par le dépositaire de terre.
* Il a laissé sa maison dans l'abandon et il a nettoyé la mosquée avec le romarin.
* Pour les bons, un bienfait est un prêt ; pour les méchants, c'est une charité.
* Quand l'homme meurt, ses pieds s'allongent.
* Que de saisons fastes ont passé et les bœufs non engraissés.
* Quelle belle fleur que le laurier-rose, et le laurier-rose est amer !
* Qui pourrait dire au lion : « Ta bouche sent mauvais » ?
* Qui voyage ajoute à sa vie.
* Sauf mon père et ma mère, tout le monde ment.
* Si Dieu ne pardonnait pas, le Ciel serait vide.
* Si la chance veut venir à toi, tu la conduiras avec un cheveu ; mais si la chance veut partir, elle rompra même une chaîne.
* Si le bien était récompensé, le bœuf le serait.
* Si le labour se faisait avec la simple vue, n'importe qui moissonnerait.
* Si tu as de nombreuses richesses, donnes de ton bien ; si tu possèdes peu, donne de ton cœur.
* Si tu donnes des coups de cornes, donnes-les à ceux qui en ont.
* Ton secret est ton sang ; si tu le laisses s'échapper, tu mourras.
* Travaille, et tu deviendras fort ; assieds-toi, et tu sentiras mauvais.
* Un ami est meilleur que le lait.
* Vise toujours la lune, même si tu rates, tu atterriras parmi les étoiles.
* Il ne s'élévera jamais de poutre à partir d'un buisson de "amagraman"
* Vivre le jour le jour sans penser au lendemain ( ADIL)
* Sauf mon père et ma mère, tout le monde ment.
* Si Dieu ne pardonnait pas, le Ciel serait vide.
* Si la chance veut venir à toi, tu la conduiras avec un cheveu ; mais si la chance veut partir, elle rompra même une chaîne.
* Si le bien était récompensé, le bœuf le serait.
* Si le labour se faisait avec la simple vue, n'importe qui moissonnerait.
* Si tu as de nombreuses richesses, donnes de ton bien ; si tu possèdes peu, donne de ton cœur.
* Si tu donnes des coups de cornes, donnes-les à ceux qui en ont.
* Ton secret est ton sang ; si tu le laisses s'échapper, tu mourras.
* Travaille, et tu deviendras fort ; assieds-toi, et tu sentiras mauvais.
* Un ami est meilleur que le lait.
* Vise toujours la lune, même si tu rates, tu atterriras parmi les étoiles.
* Il ne s'élévera jamais de poutre à partir d'un buisson de "amagraman"
* Vivre le jour le jour sans penser au lendemain ( ADIL)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire